Année : 2024 — Centre St-Pierre

Archive for 2024

OBNL ou OSBL : quel est le bon terme?

OBNL ou OSBL : Tout savoir sur ces termes clés

Vous avez déjà entendu parler des OBNL et des OSBL, mais savez-vous ce qui les différencie? Ces termes, souvent employés pour désigner des organisations sans vocation lucrative, cachent des subtilités importantes, surtout sur le plan juridique. Voici un guide complet pour y voir plus clair!

Définition des OBNL et OSBL : des organismes engagés

Les sigles OBNL (organisme à but non lucratif) et OSBL (organisme sans but lucratif) désignent des structures qui ne poursuivent pas de but lucratif. Leur mission : servir la communauté ou répondre à des enjeux spécifiques sans enrichir des actionnaires.

Dans le langage courant, les deux termes sont souvent considérés comme équivalents. Cependant, un débat a déjà eu lieu sur l’expression sans but lucratif, jugée trop négative par certains. C’est ainsi que l’OBNL s’est imposé comme le terme préféré.

Différence juridique entre OBNL et OSBL : Québec vs fédéral

Même si OBNL et OSBL semblent similaires, la distinction réside dans leur statut légal :

  • OSBL (Québec) : Ce terme est utilisé par le Registraire des entreprises du Québec pour désigner une personne morale sans but lucratif.
  • OBNL (Canada) : Au niveau fédéral, la législation emploie le terme organisme à but non lucratif.

Pour bien choisir le terme :

  • Parlez d’OSBL pour un organisme enregistré au Québec.
  • Utilisez OBNL pour les organismes régis par une charte fédérale.

À noter que les règlements généraux, qui encadrent la structure et le fonctionnement interne d’un organisme, doivent également respecter les spécificités légales de chaque juridiction.

Pourquoi cette nuance entre OBNL et OSBL est-elle importante?

En tant que rédacteur, avocat ou gestionnaire d’organisme, utiliser la bonne terminologie montre votre maîtrise du sujet et évite les ambiguïtés. Cela peut aussi avoir un impact sur vos démarches administratives ou vos communications officielles.

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Comment prendre soin de soi quand on est proche aidant?

Être proche aidant est un acte d’amour immense, mais qui peut aussi peser lourd sur nos épaules. Les responsabilités s’accumulent, les journées semblent trop courtes et, peu à peu, on s’oublie. Pourtant, prendre soin de soi est essentiel pour continuer à aider efficacement et préserver sa santé. Alors, comment y parvenir?

Reconnaître les facteurs qui font souffrir

La culpabilité, le sentiment d’isolement, la charge mentale… Ces réalités, souvent partagées par les proches aidants, peuvent devenir de véritables fardeaux. Reconnaître ces facteurs est une première étape pour limiter leur impact sur notre santé physique et psychologique.

Comprendre l’impact sur notre santé

Être constamment sous pression peut mener à l’épuisement, affectant non seulement le corps (fatigue chronique, douleurs) mais aussi l’esprit (anxiété, perte d’estime de soi). Apprendre à identifier ces signaux est crucial pour agir à temps et éviter de sombrer dans le surmenage.

Cultiver une estime de soi forte comme protection

Une estime de soi saine agit comme un bouclier face aux défis de la proche aidance. Elle nous aide à dire « non » quand c’est nécessaire, à accepter que nous ne sommes pas parfaits et à reconnaître la valeur de ce que nous accomplissons chaque jour.

Adopter des stratégies simples et efficaces

Pour prévenir l’épuisement, il existe des solutions concrètes et faciles à mettre en œuvre : se réserver du temps pour soi, demander de l’aide, établir des limites claires ou encore pratiquer des techniques de relaxation. Ces outils, appliqués régulièrement, peuvent transformer votre quotidien.

Vous souhaitez en apprendre davantage et découvrir un modèle de développement psychologique inspirant? La conférence Proche-aidance : souffrir ou grandir à force d’aider vous offrira des clés pour mieux vivre votre rôle. Explorez sept stratégies simples et repartez avec des outils pratiques pour allier sérénité et engagement. Inscrivez-vous dès maintenant!

Formation de développement personnel : transformez votre vie avec l’approche de Virginia Satir

Si vous cherchez à mieux vous comprendre, à améliorer vos relations ou à explorer de nouvelles possibilités dans votre vie, la formation de développement personnel Partir à la découverte de soi avec Virginia Satir : les premiers pas peut vous offrir des outils concrets pour vous épanouir et mieux vous connecter avec vous-même et les autres.

Quels outils de développement personnel offre cette formation?

Cette formation vous permet de développer plusieurs compétences essentielles :

  • Améliorer votre communication et apprendre à exprimer vos besoins de manière claire et respectueuse;
  • Passer d’un contexte de limitations à un contexte de possibilités, où vous êtes maître de vos choix et de vos actions;
  • Comprendre mieux votre identité, vos limites et vos besoins pour vivre plus sereinement;
  • Explorer de nouvelles façons de vivre en vous libérant des anciens schémas et en prenant des risques qui nourrissent votre croissance personnelle.

L’approche unique de Virginia Satir pour le développement personnel

L’approche développée par Virginia Satir repose sur une série de principes qui favorisent la communication alignée (cohérente) et l’épanouissement personnel. Cette formation vous guide à travers un processus pratique où vous allez :

  • Mieux comprendre vos émotions et apprendre à les exprimer de façon authentique;
  • Créer des relations plus saines en vous reconnectant avec vous-même et en apprenant à mieux comprendre les autres;
  • Passer progressivement d’un mode de vie figé, régi par des obligations, à un mode de vie dynamique où les choix et les aspirations sont au centre de votre existence.

Qui est Virginia Satir?

Virginia Satir était une thérapeute familiale et une pionnière dans le domaine de la communication humaine. Dans les années 1960 et 1970, elle a développé une méthode axée sur l’amélioration des relations interpersonnelles, en se concentrant sur la compréhension de soi et l’importance de la congruence émotionnelle. Elle croyait que chaque individu a le potentiel de se réaliser pleinement, et que pour y parvenir, il faut d’abord apprendre à mieux se comprendre et à accepter ses imperfections.

Son approche a permis de transformer la manière dont les gens abordent leurs relations et leur développement personnel, en les encourageant à faire des choix conscients et à prendre la responsabilité de leur propre vie.

Pourquoi suivre cette formation?

Si vous cherchez à mieux comprendre vos relations, à améliorer votre communication et à développer une vie plus épanouie, cette formation de développement personnel vous offre l’opportunité de mettre en pratique les principes de Virginia Satir. Vous y apprendrez à :

  • Mieux vous connaître et accepter qui vous êtes;
  • Communiquer plus efficacement et authentiquement;
  • Développer de nouvelles façons de vivre alignées avec vos aspirations profondes.

Cette formation est conçue pour vous offrir un environnement de soutien où vous pouvez progresser à votre rythme et échanger avec d’autres participants dans un cadre bienveillant.

N’attendez plus pour commencer à explorer de nouvelles possibilités pour votre vie!

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Intervenant·e : cultiver l’autocompassion pour un mieux-être durable

Être intervenant·e ou proche aidant·e est un engagement profond. Mais comment aider les autres sans s’épuiser? La clé réside dans l’autocompassion et le soin de soi. En prenant le temps de se ressourcer, chaque intervenant·e peut offrir un soutien plus durable et équilibré. Voici comment l’autocompassion devient essentielle au mieux-être de celles et ceux qui donnent tant aux autres.

Pourquoi l’autocompassion est-elle cruciale pour les intervenant·es?

Prendre soin des autres exige une grande dose d’empathie, mais aussi de l’énergie. Sans autocompassion, l’épuisement guette rapidement. Les intervenant·e·s sont souvent confronté·e·s à des situations exigeantes, où leur propre bien-être est mis à l’épreuve. Prendre soin de soi avec bienveillance permet non seulement de retrouver l’énergie nécessaire pour aider, mais aussi de rester aligné·e avec ses propres besoins, réduisant ainsi les risques de fatigue et d’épuisement.

Mieux-être et efficacité : un équilibre nécessaire

La société actuelle valorise la performance, même dans les moments de repos. Pour un intervenant·e, il est essentiel de trouver un équilibre sain entre l’aide aux autres et le soin à soi. Sans ce mieux-être personnel, les aidants risquent de perdre en efficacité et en satisfaction dans leur rôle. Prendre soin de soi, c’est donc aussi augmenter la qualité de son accompagnement auprès des autres.

Les formations du Centre St-Pierre pour soutenir le mieux-être des intervenant·es

Le Centre St-Pierre propose des formations et des conférences visant à encourager le mieux-être et l’autocompassion chez les intervenant·es. Ces programmes mettent l’accent sur le développement de pratiques qui aident chaque aidant·e à se ressourcer et à retrouver un équilibre, essentiel pour continuer à soutenir les autres de manière durable et efficace. Ces formations peuvent être remboursées par votre employeur à titre de perfectionnement professionnel.

Quelques conseils pour cultiver l’autocompassion

  1. Écouter ses propres besoins : Il est primordial de se poser régulièrement les bonnes questions, comme : Quels sont mes besoins? Comment puis-je y répondre?.
  2. Accepter de ralentir : Il est parfois nécessaire de se déconnecter pour réduire les stimulations et se recentrer.
  3. S’investir dans des gestes simples de mieux-être : Quelques minutes de méditation ou une marche permettent de retrouver son équilibre intérieur.

En conclusion : investir dans le mieux-être pour une aide durable

Pour les intervenant·es, l’autocompassion et le mieux-être personnel ne sont pas des luxes, mais des nécessités. Ce sont des gestes essentiels pour assurer un accompagnement durable et aligné. Le Centre St-Pierre accompagne chaque intervenant·e dans cette démarche de mieux-être, pour que l’aide aux autres soit une source de satisfaction et non d’épuisement.

Transformer notre rapport à l’environnement

Une vision circulaire de l’écosystème environnemental

Depuis toujours, l’humain s’est placé au sommet de la pyramide écologique, dominant et exploitant la nature sans égard aux conséquences. De nombreux mythes de création ont consolidé cette vision du monde, renforçant un modèle hiérarchique de l’homme face au vivant. Cependant, une nouvelle perspective émerge rapidement : une vision circulaire où l’humain fait partie intégrante d’un écosystème complexe et interdépendant.

Le Centre St-Pierre s’inscrit dans ce « grand tournant » en proposant des formations et des conférences au sein de son service de développement personnel et spirituel. Ces activités visent à transformer notre rapport à la nature, en encourageant des gestes concrets pour protéger le vivant et en questionnant les structures encore basées sur un modèle pyramidal.

Être en harmonie avec la nature, tout en tenant compte des réalités actuelles, est non seulement possible, mais nécessaire. Ensemble, facilitons le passage à l’action pour bâtir une société qui valorise et protège le vivant. Chaque geste compte pour réduire l’écoanxiété qui nous affecte, tant sur le plan individuel que collectif.

Formations en environnement offertes en novembre

Dès novembre, le Centre St-Pierre vous propose des formations qui vous permettront de changer votre regard sur l’environnement et de retrouver votre pouvoir d’agir, tant à titre personnel que collectif. Ces formations offrent des outils pour apaiser et mobiliser les individus en période de transition écologique, tout en accompagnant les intervenant·es à mieux intervenir dans ce contexte.

Voici les formations qui pourraient vous intéresser :

Recentrer la notion de communauté au cœur du communautaire

Que veut dire « vivre en communauté »? Est-ce que ce serait de partager un même espace physique, un centre communautaire, un parc, un bâtiment, des lieux publics? Ou encore de partager nos ressources, notre cadre de référence, nos valeurs, nos idéaux

Pour nous aider à répondre, utilisons une image : les hippies des années 60, qui voulaient vivre en harmonie avec la nature et qui avaient un idéal de « peace and love ».

Ils partageaient cette volonté de vivre en paix et dans l’amour, contre la guerre et la société de consommation. Ce mouvement qui a pris naissance aux États-Unis a gagné le monde occidental et encore aujourd’hui, des personnes qui s’identifient aux hippies des années 60.

Le mouvement hippie nous prouve que des personnes qui n’habitent pas le même espace physique ni le même pays, qui ne parlent pas la même langue, de différents âges et issues de différents contextes, peuvent partager le même idéal de paix, d’amour et de liberté.

Nous pourrions affirmer que « vivre en communauté », c’est mettre l’accent sur ce que nous avons en commun pour construire notre monde. Au lieu de nous isoler parce que nous sommes différents les uns des autres, nous pouvons nous servir de nos différences pour enrichir notre expérience en tant que groupe.  

Nous savons que l’humain a tendance à se regrouper avec ses semblables, c’est normal. Alors pour atteindre nos ambitions d’équité, de diversité et d’inclusion (EDI), nous devons en quelque sorte lutter contre notre tendance naturelle à s’allier seulement avec des personnes qui nous ressemblent. Un défi de taille, considérant que beaucoup d’entre nous ressentent l’épuisement à force de nous battre pour obtenir des ressources de base.

Nous sommes présentement dans un contexte qui nous divise, alors qu’il est plus important que jamais de mettre l’accent sur ce que nous avons en commun et nous rappeler pourquoi nous sommes ensemble.

Peu importe d’où nous venons, si nous avons une déficience motrice, un diagnostic de santé mentale ou une situation familiale particulière, il faut revenir à ce qui nous lie comme individu. Nous avons tous et toutes un nom, une histoire, un besoin de reconnaissance, des insécurités, un besoin d’aimer et d’être aimé·e. 

L’inclusion, c’est beaucoup plus que des politiques internes : elle se vit dans les petites choses.

Il faut sortir des modes d’assimilation et d’acculturation qui ont historiquement primé. Le dénominateur commun c’est l’ouverture à se remettre en question et tenter de comprendre d’où la personne vient et ce qui l’a forgée.

L’ouverture se travaille dans notre quotidien. Plus nous nous exposons aux différences, à la diversité, aux diverses façons de vivre, plus nous avons l’occasion nous analyser et questionner notre vision du monde, nos pensées et nos habitudes. Chaque personne est porteuse de sa propre vérité, chaque personne est un univers en soi. Avec tellement de vérités dans le monde, l’ouverture à l’autre relève le défi du vivre-ensemble, de reconnaitre la vérité de l’autre, tout en reconnaissant la nôtre aussi.   

Pour vivre en communauté, il faut admettre que toutes les façons de vivre sont légitimes. Ne pas voir la différence comme une menace, mais plutôt comme une opportunité d’apprentissage. Se rappeler que même des concepts que nous croyons universels comme le respect, par exemple, ne s’incarnent pas de la même manière pour tout le monde et c’est correct ainsi.

Nous devons trouver des moyens de bâtir des ponts au lieu de monter des murs. Devenir une collectivité riche d’expériences individuelles, qui travaille à former un tout : une vraie communauté!


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Comment organiser un événement inclusif
, le 23 octobre (formation)
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, le 8 novembre (formation)
Inclusion et sensibilités contemporaines : comprendre et s’adapter aux enjeux émergents
, le 12 mars 2025 (conférence)

Codéveloppement en gestion des ressources humaines  

Expérience d’une communauté d’apprentissage tenue au CSP 

Par Daniel Fillion, formateur et accompagnateur 

Le Centre St-Pierre (CSP) offre à la communauté et aux organismes communautaires des accompagnements et des formations sur divers sujets concernant la gestion des ressources humaines (GRH). La complexité et la rapidité des changements de notre société requièrent une adaptation continuelle de nos pratiques de gestion. C’est donc dans cette perspective et pour répondre aux besoins grandissants des gestionnaires d’OSBL que le CSP a proposé une communauté d’apprentissage comme le groupe de codéveloppement en GRH, selon la méthode Payette-Champagne. Cet article vise à vous partager l’expérience que j’ai vécue dans la facilitation de deux cohortes au cours des périodes s’étendant de 2022 à 2024. Je mettrai l’emphase sur les apprentissages des participant·es ainsi que ce que je retiens de cette expérience.  

Les ateliers de codéveloppement ont comme objectif de permettre aux membres d’une équipe d’aider leurs pairs dans la résolution de son problème, projet ou préoccupation (PPP) en respectant une démarche structurée, facilitée par une personne compétente. 

Nous misons sur l’intelligence collective, les savoirs, savoir-être et savoir-faire, ainsi que sur l’oser-faire. Cette démarche facilite le transfert de connaissances pour améliorer la pratique et le cheminement professionnels sur la base de PPP réels. Elle permet de demander de l’aide et d’apprendre à offrir de l’aide, et ce, à partir d’une méthode andragogique qui a fait ses preuves depuis plus de 25 ans. Cette méthode est maintenant appliquée internationalement. Je retiens aussi d’autres avantages indéniables tels que : 

  • Résoudre des problèmes 
  • Explorer de nouvelles avenues 
  • Rompre l’isolement et obtenir du soutien 
  • Avoir un groupe d’appartenance professionnelle 
  • Clarifier et partager la vision de son rôle 
     

Au cours des deux dernières années, le CSP a formé deux cohortes de 8 à 10 personnes ayant un intérêt et des préoccupations en commun pour la GRH, dans un contexte de gestion d’OSBL. Les séances de codéveloppement ont une durée de trois heures et s’étalent durant l’année sur une période de 10 mois. 

Comme facilitateur, mon rôle est de m’assurer que le processus soit rigoureux et que nous puissions cheminer au cours des séances dans le plaisir d’apprendre. Des règles de fonctionnement sont élaborées par le groupe et tout le monde s’engage à les respecter. La confidentialité, l’engagement et la disponibilité sont des règles incontournables qui contribuent à la mise en place d’un espace sécuritaire. 

Les PPP présentés au cours des séances de codéveloppement couvraient un éventail très varié de sujets reliés à la GRH : rôles et responsabilités en GRH, le transfert de connaissance, la réalisation d’un plan d’action, la gestion de la relève, les rencontres d’encadrement, etc. 

Les expériences vécues, et surtout, les apprentissages effectués par les participant·es, sont ce que je retiens de plus significatif. En plus de s’enrichir les uns les autres par leurs apprentissages, les participant·es ont su créer une communauté de pratique fondée sur le respect, l’intégrité, la confiance, et ce, dans le plaisir. 

Voici une liste non exhaustive des principaux apprentissages que j’ai notés au cours de ces deux cohortes : 

  • Prendre soin de soi et se ménager dans le tumulte quotidien 
  • L’importance d’un réseau d’échange 
  • Faire une bonne planification 
  • Se doter d’un processus de recrutement rigoureux 
  • Clarifier les conséquences d’une personne salariée à défis 
  • Dépersonnalisation des situations, que tout ne repose pas sur les épaules d’une seule personne 
  • L’importance de clarifier les rôles pour éviter des conflits 
  • Comment maintenir la motivation en dépit de la complexité des situations 
  • L’importance des conditions de travail 
  • La relation CA-DG 
  • L’importance des règlements généraux comme outil de référence 
  • L’importance de bien documenter les dossiers des employé·es 
  • Les appréciations de la contribution : raison d’être et utilité 
  • Jusqu’à quel point doit doit-on accommoder 
  • Politique de la porte ouverte à 2 sens 
  • L’utilité des rencontres informelles 
  • Réfléchir sur l’image que je projette 

Pour conclure, je vous invite à participer à la prochaine cohorte du groupe de codéveloppement en gestion des ressources humaines. Cliquez ici pour en savoir davantage.

Les avancées de la Maison St-Pierre : concrétisation d’un projet de sécurité alimentaire au Québec

Au fil des derniers mois, Carole Petitpierre, coordonnatrice du projet de la Maison St-Pierre, et Charles Fillion, directeur général du Centre St-Pierre, ont multiplié les rencontres avec des partenaires du réseau de la sécurité alimentaire et de l’économie sociale. Ces échanges ont permis de poser les bases d’un projet ambitieux pour l’espace cuisine de la Maison St-Pierre, destiné à répondre aux besoins alimentaires des citoyens du quartier tout en soutenant des initiatives de transformation alimentaire

Un espace cuisine pour une alimentation durable

Aujourd’hui, l’heure n’est plus aux rêves, mais à la concrétisation. L’espace cuisine de la Maison St-Pierre se profile comme un lieu incontournable pour les projets de sécurité alimentaire à Montréal. Que ce soit pour des organisations cherchant à lutter contre la précarité alimentaire ou pour des projets de transformation alimentaire déjà en cours, cet espace vise à optimiser l’usage des ressources disponibles, tout en favorisant un approvisionnement alimentaire durable.

Visitez nos installations en soutien à la sécurité alimentaire

Les portes de la Maison St-Pierre sont ouvertes à toutes les organisations et individus intéressés par la sécurité alimentaire et l’économie sociale. Nous invitons les partenaires potentiels ou curieux à découvrir cet espace et à visiter l’espace cuisine ainsi que les autres locaux disponibles. Les organismes intéressés par l’espace cuisine sont d’ailleurs conviés à une matinée de co-développement le jeudi 3 octobre 2024, de 9 h à 12 h, pour échanger sur les projets futurs en sécurité alimentaire. Inscription ici : https://forms.office.com/r/ZzTmv5JnLq

Concrétisation des rêves pour une alimentation solidaire

À la Maison St-Pierre, nous passons de la vision à la réalité. Ce projet, réalisé en collaboration avec des partenaires tels que le Conseil du système alimentaire montréalais, est une véritable avancée dans la lutte contre la précarité alimentaire au Québec. En mutualisant les ressources et en mettant à profit l’expertise des acteurs locaux, nous contribuons à bâtir un système alimentaire durable qui profitera à toute la collectivité.

Vous souhaitez en savoir plus ou planifier une visite? Nous vous invitons à contacter Carole Petitpierre, coordonnatrice du projet de la Maison St-Pierre, à l’adresse suivante : msp@centrestpierre.org.

Vous pouvez également visiter notre Foire aux questions.

Rejoignez l’équipe du Centre St-Pierre!

Découvrez les offres d’emploi :

Sous la responsabilité de la coordonnatrice du Service de l’accueil, la personne équipière accueille la clientèle du Centre St-Pierre et l’informe sur les activités. Elle connaît la mission du Centre St-Pierre et sait bien l’expliquer. Elle est appelée à jouer deux rôles : l’un lorsqu’elle est présente sur le plancher et l’autre à la réception. Lors de la présence sur le plancher, la personne équipière prépare les salles selon les requêtes de la clientèle. Elle est affectée aux tâches quotidiennes reliées à la propreté du Centre et des salles. Elle installe ce dont les clients ont besoin pour la tenue de leurs événements. À la réception, elle est responsable de faire le suivi des requêtes de la coordonnatrice et de les présenter à ses collègues sur le plancher.

Responsabilités : 

  • Accueillir et répondre aux besoins de la clientèle du Centre.
  • Accompagner, ponctuellement, les nouveaux clients dans la visite du Centre et promouvoir les divers services offerts par le Centre.
  • Collaborer à la gestion du stationnement.
  • Suivre les formations nécessaires au bon fonctionnement du travail et être en mesure d’être la personne clé pour donner l’information des différents départements du Centre St-Pierre.
  • Faire la transition avec les prochain·es équipiers·ères en place et/ou la ou le réceptionniste et transmettre l’information de suivi de tâches du plan de travail en cours.
  • Participer aux réunions de son équipe de travail et effectuer toute autre tâche requise par la personne responsable de l’équipe de travail de l’accueil, dans le cadre de ses responsabilités.

Lorsque sur le plancher : 

  • Vérifier les salles avant l’arrivée et vider les salles au départ de la clientèle.
  • Préparer les salles pour l’après-midi, le soir ou le lendemain selon les demandes (monter des tables, placer des chaises, etc.).
  • S’occuper de l’entretien ménager régulier (aires communes, salles de bain, cuisinettes, déneigement, vitres, planchers, etc.).
  • S’assurer de la maintenance de l’édifice, des équipements et des biens meubles.
  • Faire les branchements nécessaires pour les micros, multimédias, webdiffusion, etc.
  • Préparer les commandes de café et autres services alimentaires.

Lorsqu’à la réception : 

  • Assurer la réception téléphonique et diriger les appels. Prendre les messages sur la boîte vocale et en assurer le suivi.
  • Répondre aux appels des personnes à la barrière du stationnement, remettre les vignettes et assurer la gestion du stationnement.
  • Répondre aux questions de la clientèle quant à la formation, aux conférences, à la location de salles et aux différents services offerts par le Centre.
  • Distribuer le courrier et les colis reçus à la réception et aviser, dès réception, la personne destinataire.
  • Compter et balancer les petites caisses quotidiennement et faire le dépôt et conciliation.
  • Assurer la gestion de l’inventaire du matériel de location, les mises à jour des portables, etc.
  • S’assurer du bon fonctionnement des tableaux d’information de l’accueil.
  • Procéder aux paiements des salles (sur place ou par téléphone).
  • Inscrire les ajouts apportés aux salles sur les feuilles d’instructions aux appariteurs.
  • Traiter les courriels de la boîte « réception ».

Exigences du poste : 

  • Diplôme d’études secondaires ou l’équivalent
  • Bonne maîtrise du français parlé et écrit
  • Expérience pertinente au service à la clientèle
  • Grande autonomie, disponibilité et flexibilité
  • Très bonne aptitude à travailler au service à la clientèle et à établir des relations courtoises
  • Très bonnes compétences en informatique : traitement de texte, utilisation de logiciels d’affichage et de pages Web, communication électronique, événement Web
  • Intérêt marqué pour les technologies
  • Bonnes aptitudes à communiquer par écrit et verbalement
  • Excellent sens de l’organisation : capacité à gérer simultanément plusieurs tâches et à établir des priorités
  • Excellente aptitude à travailler en équipe en faisant preuve de collaboration
  • Capacité physique pour manipuler les charges nécessaires en lien avec les tâches
  • Détenir un permis de conduire
  • Expérience en entretien ménager de bâtiment (atout)
  • Connaissance de l’anglais (atout)

* Vous pouvez postuler à cet emploi seulement si vous détenez la citoyenneté canadienne, la résidence permanente ou un permis de travail canadien valide.  

Conditions d’emploi

  • Salaire compétitif (23,95 $ dès l’entrée)
  • Milieu de travail syndiqué
  • Avantages sociaux (assurances, REER, etc.)
  • À proximité du métro Beaudry, stationnement gratuit disponible
  • Environnement de travail stimulant

ENTRÉE EN FONCTION – Dès que possible 

Les personnes intéressées sont invitées à le faire par écrit en transmettant leur lettre de motivation et CV au plus tard le 3 septembre 2024 à Julie Ouellette via l’adresse courriel suivante : jouellette@centrestpierre.org.

Nous remercions toutes les personnes qui poseront leur candidature. Seules les personnes dont la candidature aura été retenue seront contactées.

Les inscriptions sont ouvertes pour les activités prévues jusqu’en mars! Cliquez ici pour découvrir nos formations.